Une plume rêve de se laisser aller au gré des vents. Silencieux, son envol raconte l’histoire d’une lueur messagère venue troubler les illusions de l’habitude qui s’en pelote sur la piste de nos cirques quotidiens. Quoi ! Le fil de ce qui paraît ne serait que projections de masques, ritournelles de désirs en équilibre et tourne-en-rond de lieux communs ? Notre Znük, St-Thomas des paddocks conceptuels, voit plus loin. Ses naseaux fleurent les embrouilles du politiquement correct, sentent l’époque et relève ses travers. Pas de soumission aux apparences ! Elles trépassent aussi vite que s’affinent leurs tentations. Mieux vaut mettre le doigt là où ça se passe, entre gratte et caresse, entre signe et promesse. Il n’est de vérités que ces rencontres avec soi par des relations libératrices s’épanouissant en retrouvailles. Elles captent l’attention, suggèrent des alternatives toujours possibles aux flux des morales étriquées de la bien-pensance. Être réalistes, c’est demander l’impossible ; il crée l’événement, outrepasse l’ordre établi par son pouvoir révélateur de formes, de couleurs et de lettres